FAQ PARE-BRISE

Si le pare-brise présente des anomalies, les occupants et le conducteur sont en danger.

Ainsi, que ce soit pour une raison de sécurité ou de confort, il est important de posséder un pare-brise en parfait état.

Rendez vous dans nos garages CURTISS Car Service pour savoir si votre vitrage peut être réparé ou doit être remplacé.

Il est généralement réparable si votre impact est non fissuré, plus petit qu’une pièce de 2€ et en dehors du champ de vision du conducteur.

La réparation CURTISS Car Service est garantie à vie !      

Pour une réparation d’impact, l’intervention dure à peu près 30 min.

Pour un remplacement d’une glace latérale dure moins de 2 heures.

Et pour le remplacement de pare-brise ou de lunette arrière, un peu moins de 3 heures.           

Notre service comprend le nettoyage de l’impact, l’injection d’une résine spéciale.

Un durcissement par lampe UV est effectué permettant de restituer à votre pare-brise sa solidité.

La zone d’impact est ensuite polie, ce qui la rend quasi invisible.

FAQ REVISION

Bien sûr ! CURTISS Car Service dispose d’un outil diagnostic multimarques très performant, qui permet de diagnostiquer et de vérifier l’état de votre voiture. Même avec un kilométrage élevé, les constructeurs préconisent des révisions régulières et le changement de certaines pièces d’usure : freins, amortisseurs, etc. Les plans d’entretien et les méthodes spécifiques selon les préconisations du constructeur couvrent plus de 35 000 modèles.

Si vous réparer votre véhicule chez CURTISS Car Service, les révisions et les réparations sont effectuées selon les méthodes et les préconisations du constructeur, ce qui permet, de préserver la garantie d’origine de votre voiture. Le carnet d’entretien est également complété pour vous permettre de suivre facilement les opérations effectuées et à venir sur votre véhicule.

Aucun problème ! Les voitures très récentes sont effectivement plus complexes, car elles disposent des dernières technologies sophistiquées, souvent gérées par l’électronique. Chez CURTISS Car Service, le personnel qualifié est régulièrement formé à ces nouvelles technologies. En cas de panne complexe, le soutien d’une assistance technique multimarques performante permet une issue favorable.

FAQ SUSPENSION

Très probablement, car ce sont des symptômes typiques indiquant qu’ils ne jouent plus leur rôle correctement. Lorsque vous accélérez, un transfert de masse s’opère vers l’arrière. On dit que la voiture se cabre. Lorsque vous freinez, c’est le contraire : la voiture appuie très fort sur son train avant, on dit qu’elle plonge. En virage, elle exerce une force plus importante d’un côté. On dit qu’elle prend du roulis. Dans tous les cas, les amortisseurs ont pour rôle de contenir ces mouvements. Lorsqu’ils sont trop usés, leur efficacité est amoindrie et les mouvements de votre véhicule prennent de l’ampleur, ce qui dégrade nettement la tenue de route et la sécurité.

Il existe un signe extérieur, une fuite d’huile sur le corps de l’amortisseur. S’il est gras et poisseux, il y a de fortes chances pour qu’il soit endommagé. L’usure normale d’un amortisseur peut également être décelée par le comportement de votre véhicule : un flottement du véhicule dans les courbes rapides, un élargissement de la trajectoire en virage, un cabrage trop important à l’accélération etc.

FAQ PRÉ-CONTRÔLE TECHNIQUE

En moyenne en moins d’une heure, la totalité des 124 points prévus au contrôle technique sont vérifiés. Ces points de contrôle portent sur une douzaine de grands chapitres : freinage, direction, éclairage/signalisation, échappement etc.

Si vous le souhaitez, nous pouvons effectuer rapidement les réglages ou les réparations nécessaires. Une fois votre voiture mise en conformité dans nos ateliers, il suffit de la présenter au contrôle technique l’esprit tranquille.

FAQ VIDANGE

Le moteur contient de nombreuses pièces en mouvement. La plupart de ces pièces sont métalliques, et certains d’entre elles frottent les unes contre les autres. L’huile permet donc de réduire les frottements et donc l’usure. L’huile se charge également de micro-particules métalliques. Le film d’huile est ainsi constamment brûlé et évacué via l’échappement.

Il existe différents type d’huile selon les caractéristiques de votre moteur (type de carburant, puissance, type d’utilisation etc.). Une huile moteur minérale est conçue à base de pétrole brut, elle convient aux mécaniques anciennes. Une huile semi-synthétique est adaptée aux mécaniques actuelles. Enfin, une huile 100% synthétique est exclusivement composée de produits chimiques ou pétrochimiques et est la plus adaptée aux mécaniques «haute technologie».

Ces indications précisent la viscosité de l’huile. Celle-ci doit précisément correspondre aux préconisations du constructeur.

Premier réflexe, si vous êtes en circulation garez-vous sur le côté dès que possible, couper le contact, et patienter quelques instants. Il s’agit probablement d’un message d’alerte qui indique que votre niveau d’huile a atteint son point minimum. Il vous suffit donc de faire l’appoint après avoir vérifié le niveau via la jauge. La méthode : tirer la jauge, l’essuyer avec un chiffon, puis la plonger dans son orifice. Attendre quelques secondes, puis tirer à nouveau la jauge. Le film d’huile déposé sur la tige s’arrête à un repère entre «mini» et «maxi». Il suffit alors, de verser l’huile dans le bloc moteur par petites quantités, tout en vérifiant via la jauge que le niveau ne monte pas au-delà du repère maxi. Si, après cette vérification, le voyant ne s’éteint pas, couper le contact et faites vérifier votre véhicule par un professionnel.

L’usure de votre huile se contrôle à sa couleur qui doit avoir conservé son aspect originel, transparent et légèrement ambré. Si elle est opaque et marron foncé, il est temps d’aller faire faire la vidange de votre véhicule. 

VISIBILITE

L’éclairage «xénon» est plus blanc, légèrement bleuté, avec une lumière proche de celle du jour. Cet éclairage est également plus puissant et a une durée de vie 2 à 3 fois supérieure à un éclairage par lampes classiques. Il permet une grande puissance d’éclairage et un confort visuel amélioré. Il est déconseillé d’intervenir vous-même sur ce type d’éclairage face aux risques d’électrocution : La tension atteint 20 000 Volt, contre 12 à 14 Volt pour un système classique ! 

Il est fort probable que votre éclairage éblouit les usagers d’en face parce que votre faisceau lumineux éclaire trop haut. Si vous roulez en charge, pensez également à utiliser la molette de réglage du faisceau lumineux si votre voiture en est équipée. Notez qu’à l’inverse, un faisceau lumineux trop bas réduit la surface éclairée. Pensez à faire régulièrement vérifier votre éclairage par un professionnel.

Les phares additionnels antibrouillard à l’avant permettent effectivement un éclairage plus puissant en cas de brouillard ou de très forte pluie. Le feu rouge de brouillard, très puissant, ne doit jamais être utilisé par temps de pluie, car il éblouit fortement les usagers derrière vous. Ne l’utilisez uniquement qu’en cas de brouillard, et pensez à l’éteindre dès que les conditions météo s’améliorent.

PNEUMATIQUES

Lorsqu’un pneumatique est sous-gonflé, la moindre pression engendre un effet d’écrasement qui «aplatit» le pneu sur la chaussée. La surface de contact au sol est alors augmentée, cette surface de contact plus importante demande plus d’énergie lors d’un déplacement, ce qui sollicite d’avantage la mécanique et engendre une surconsommation, qui peut atteindre 20%.

Un pneu risque d’éclater quand il n’est pas suffisamment gonflé. En effet, le pneu s’écrase plus à chaque tour de roue quand il est sous gonflé ou en cas de surcharge. Le caoutchouc s’échauffe exagérément et peut provoquer l’éclatement.

Avec le temps, les pneumatiques s’usent. Les rainures, deviennent moins profondes. Si leur profondeur est inférieure à 1,6 mm, il est nécessaire de changer les pneus. Les flancs, eux aussi, peuvent subir des dégradations parfois invisibles, dues par exemple à un coup de trottoir. Un mauvais parallélisme ou un choc sur la jante peut aussi dégrader vos pneus et engendrer des vibrations. La durée de vie d’un pneumatique est variable selon les conditions d’utilisation, il est important de changer de pneumatique dès qu’il y a un signe d’usure.

La bande de roulement est la partie centrale du pneumatique, elle est toujours en contact avec la route. C’est donc sur elle que vous pouvez vérifier l’état de vos pneus grâce à des témoins d’usure. Ces témoins d’usure permettent de vérifier la profondeur des rainures et sont présents au cœur des rainures sur chaque pneumatique. Si la surface du pneu se trouve au même niveau que le témoin d’usure le pneu est à changer car la loi précise qu’il faut au moins avoir des rainures profondes de 1.6 mm (hauteur du témoin). 

Sous la pluie, la boue ou la neige, il est parfois nécessaire d’avoir des pneus spéciaux. Chez CURTISS  Car Service, il existe une gamme complète de pneumatiques hiver fabriqué dans un matériau plus tendre et dotés de sculptures au profil plus «accrocheur» qui améliorent la motricité sur la neige et sur chaussée mouillée. S’il est possible de rouler toute l’année avec ce type de pneumatiques, notons qu’ils s’usent plus vite sur une route sèche. 

Un grand nombre de voitures modernes ne sont pas dotées d’une roue de secours. Sa suppression permet un gain d’espace, mais aussi de poids. D’autant que la probabilité d’une crevaison devient extrêmement faible sur les voitures modernes. Alternative au changement de roue, l’utilisation d’une bombe anticrevaison permet de réparer simplement et rapidement la roue. Elle permet de regonfler et réparer temporairement le pneumatique. L’efficacité et la fiabilité de la bombe anticrevaison permet aujourd’hui de se passer de la roue de secours dans la plupart des cas. 

KIT DE DISTRIBUTION

Il est fortement déconseillé de dépasser le kilométrage préconisé sans avoir effectué le changement de votre courroie. En vous octroyant cette marge, vous risquez de casser peut être de façon irréversible votre moteur. 

FREINAGE

Le frein à disque se compose d’un disque de frein, d’un étrier et de plaquettes de freins. Le frein à tambour se compose principalement d’un tambour et de mâchoires. En règle générale, les voitures citadines disposent d’un système mixte, disques à l’avant et tambours à l’arrière, ces derniers disposant d’une force de freinage moindre. On trouve également des freins à disques sur les quatre roues et sur des voitures plus volumineuses exigeant une plus grande capacité de freinage.
Bon à savoir : environ 70% de la force de freinage est exercée à l’avant, d’où une usure normale plus prononcée des disques et des plaquettes à l’avant.

L’ABS est un élément de sécurité important. Il permet de garder le contrôle de son véhicule en évitant aux roues de se bloquer et donc de préserver son pouvoir directionnel pendant un épisode de freinage intense. L’ABS fonctionne via une centrale hydraulique commandée électroniquement qui engendre, lors d’un freinage d’urgence, une pression intermittente à travers des à-coups très rapides. Le blocage suivi du relâchement de la pression en quelques millisecondes permet aux roues de freiner efficacement tout en continuant de tourner. 

Il s’agit probablement d’un problème de disques voilés ou d’une usure prononcée des disques et des plaquettes. Une vibration peut provenir d’un disque ayant subi de fortes sollicitations à froid. En tournant, le disque «ondule», ce qui provoque en cas de freinage des vibrations et parfois un bruit anormal. S’il n’y a pas de vibration mais qu’un bruit persiste, il peut s’agir d’une usure prononcée de vos plaquettes, qui ne disposent plus de suffisamment de matériau d’usure. Le disque de frein est alors directement en contact avec le corps en métal dur de la plaquette. Dans ce cas, le disque peut s’endommager en une dizaines de kilomètres ! N’attendez plus et faites vérifier votre système de freinage par un professionnel. 

Il peut s’agir de plusieurs problèmes, isolés ou cumulés. En premier lieu, l’usure des plaquettes peut être en cause, leur épaisseur ne garantit plus un freinage efficace, vous devez les faire changer. Autre problème possible, le niveau de liquide hydraulique trop bas. Si tel est le cas, il ne faut surtout pas attendre et faire vérifier le système au plus vite. 

FAQ ECHAPPEMENT

Il peut s’agir de symptômes indiquant un catalyseur ou une sonde lambda dégradée. La sonde lambda est un capteur, fixé sur la ligne d’échappement. Lorsque la sonde lambda est endommagée ou usée, le signal est erroné, et la voiture adopte un «mode dégradé» qui, en général, ne permet pas de dépasser 50 km/h. Le catalyseur, lui aussi, peut être en cause. S’il est endommagé, il ne permet pas aux polluants contenus dans les gaz d’échappement d’être transformés en gaz moins nocifs : la sonde lambda peut alors envoyer dans ce cas un signal d’alerte au moteur qui, là aussi, adopte le mode dégradé. Une seule solution, faire remplacer les pièces défectueuse au plus vite.

Le catalyseur, a une durée de vie limitée et doit être changé régulièrement selon les préconisations du constructeur. Le catalyseur permet de transformer ou de fortement réduire les composés les plus polluants contenus dans les gaz d’échappement. Lorsque le catalyseur est dégradé, ces composés nocifs sont totalement libérés dans l’atmosphère, et votre véhicule ne respecte plus les seuils de pollution autorisés. 

Tout dépend du type de véhicule, de son utilisation et de l’environnement dans lequel il évolue. Dans les régions humides ou en bord de mer, les lignes d’échappement se dégradent prématurément à cause de l’oxydation.  En général, une ligne d’échappement doit être partiellement ou complétement changée à partir de 8 à 9 ans d’utilisation dans des conditions sévères. Le pot de détente et le silencieux, conçus pour amoindrir les bruits, peuvent aussi nécessiter un remplacement à partir de 40.000 km, mais le plus souvent bien au-delà. Les sondes lambda se remplacent lorsqu’elles sont diagnostiquées défectueuses. 

Le filtre à particules est parfois monté sur les modèles diesel récents. Présent sur la ligne d’échappement, ce filtre permet d’éliminer les particules de carbone et les hydrocarbures non brûlés présents dans les gaz d’échappement et réputés dangereux pour la santé. Le filtre à particules doit être régulièrement vérifié, car il peut être saturé et provoquer des pannes ou une perte significative de puissance. Il s’agit d’une pièce d’usure dont la durée de vie varie avec l’usage du véhicule.

CLIMATISATION

Le circuit de climatisation est un réseau complexe et ses différents éléments constitutifs, peuvent présenter parfois des fuites de gaz frigorigène. Cette défaillance peut entraîner un mauvais refroidissement de l’air ou un débit d’air froid qui tarde à venir. Il est conseillé de faire effectuer un bilan du système au minimum tous les 2 ans.

La plupart des systèmes de climatisation disposent d’un filtre qui permet de retenir les microparticules, les pollens ou autres impuretés. Mais le circuit fonctionne en partie en milieu humide, alors lorsque le filtre est saturé, des bactéries et des micro-moisissures peuvent se développer, et entraîner de mauvaises odeurs persistantes. Il existe des traitements antibactériens, préventifs ou curatifs, après avoir remplacé le filtre.

Il est question ici de changer le gaz frigorigène contenu dans le circuit, qui perd ses qualités initiales avec le temps. L’opération consiste à extraire l’ancien gaz, qui sera recyclé, puis à vérifier et nettoyer intégralement le système, avant de recharger avec un nouveau gaz. Il est conseillé de faire recharger votre climatisation tous les 2 ans.

Non. Le gaz frigorigène R134a contenu dans le circuit de climatisation s’avère très polluant une fois rejeté dans l’atmosphère. Face à ces risques écologiques, les normes liées à l’entretien du système de climatisation sont devenues sévères. Par exemple, la station de recharge de gaz doit être désormais agréée par un organisme de certification indépendant, et les quantités de gaz utilisées pour chaque intervention doivent être déclarées auprès d’un organisme officiel. Chez CURTISS Car Service, tous les ateliers proposant le service entretien climatisation sont officiellement agréés.

FAQ BATTERIE

Si le témoin de charge de la batterie s’allume au tableau de bord lorsque vous roulez, soit votre batterie ne se charge plus, soit il existe une défaillance du système de charge. Dans un premier temps, rechargez au plus vite votre batterie à l’aide d’un chargeur adapté. Il suffit de relier les cosses + et – aux câbles rouge et noir, puis de brancher le chargeur sur secteur. Si la batterie ne se charge pas, il faut la changer selon les préconisations du constructeur. En revanche, si votre batterie est correctement chargée et que le voyant reste toujours allumé lorsque vous roulez, l’alternateur ou le régulateur de tension peuvent être en cause.

Il existe une méthode, qui fonctionne uniquement pour les voitures dotées d’une boîte mécanique. Tournez la clé de contact en position «on», puis enclenchez le second ou le troisième rapport. Restez au volant, tout en débrayant. Une tierce personne doit pousser le véhicule, sur une route plane et sécurisée. Une fois la voiture lancée à environ 10 km/h, lâchez la pédale d’embrayage : le moteur doit se lancer sans l’aide du démarreur. Notez que cette méthode est aléatoire, et ne doit être utilisée qu’en cas de dépannage urgent.

Oui. Cette méthode réclame également l’aide de câbles de démarrage. Positionner le câble rouge sur les cosses + des deux batteries, et le câble noir sur les cosses – ou sur une partie métallique non peinte de la voiture. Démarrez le moteur de la voiture «dépanneuse» avant de démarrer le moteur de la voiture dont la batterie est à plat. Notez que la capacité de la batterie de la voiture qui vous dépanne doit être au moins égale à celle de la batterie de la voiture en panne (vous trouverez ces informations sur les étiquettes des batteries).